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   Alexandre Roure           

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  Musicien bassiste/contrebassiste jazz & latin

                          Enseignant 

STORY

"Je veux un violon"... voilà ce que contenait une lettre écrite à sa grand-mère fin des années 70, s’en suit une formation classique au conservatoire mais curieux de son époque il écoute du hard rock sur un Walkman fabriqué maison a base de magnéto K7 a piles et d'écouteurs du combiné téléphonique volés à ses parents. Son père Roland lui, écoute Billie Holiday et Duke Ellington en fumant des cigares, Alex en profite pour écouter...et regarder fumer son père!  

 

 A l’heure de la pop rock , du funk, du jazz fusion, mêlé au temps de l’affirmation de soi et au désir de vivre dans son époque en gagnant du temps, l’apprentissage de la guitare basse s’impose. La théorie musicale et le solfège appris au conservatoire lui permettent d’analyser, d’écrire et de travailler des lignes groovy de Jaco Pastorius ou de Bootsy Collins. 

Ecumer les bars de la région avec un Groupe de Pop Rock, ça sera fait dans la foulée.  

Une classe de Jazz se crée, il y va, il connait déjà le son de Duke et Billie. 

 

L’Armée il fera en soufflant dans un Tuba, Capo Chef il deviendra dans cette fanfare de chasseurs alpins.

 

Puis Paris, passage obligé,  les écoles de jazz, les jam dans les clubs, les rencontres toutes générations et origines confondues, la vie sociale, l’urgence de jouer, les orchestres de musique Africaine dans les sous sols d’immeubles.  il découvre à ce moment là le rôle social des musiciens, ils sont là pour prolonger les journées, les temps musicaux sont des parenthèses essentielles, de nouveaux espaces se créent, il veut être de la partie.  

 

Dans son appart du XV eme il passe son temps à composer à l’aide du système « midi » , s’ambiancant à coup de boucles et de superpositions de pistes, le coté urbain , le son qui ne s’arrête jamais le gagne. 

Les soirs et souvent tard dans la nuit, il est  au studio "bop City" de Max porte de Pantin, il s'initie à une contrebasse laissée là, un gamme pentatonique bientôt trouvée lui permet de commencer à exprimer le blues, celui de Billie gravé en lui. 

Il redescend dans le sud debut des années 2000 avec ce qu'il était venu chercher à Paris: la réconciliation de deux époques, celle de son premier souhait: le violon et de son plus grand caprice: la basse électrique, ca y est il avait une vraie compagne: la contrebasse, un violon basse ou une basse violon....  avec elle tout devient possible, il l'emmène partout.  

 

Hôtels , bars , mariages , anniversaires, théâtres, manouche, blues etc... tous les prétextes sont bons pour pratiquer et jouer, il devient pro, son enthousiasme et sont écoute sont appréciés, les collaborations sont là « le festival des musiques « de Mormoiron pendant 6 ans en témoigne. 

 

Deux CD commandés naissent de sa collaboration avec Luis Pousa , guitariste chanteur d’origine sud-américaine, passionné de réalisations musicales, il découvre une nouvelle facette du métier, produire de la musique enregistrée.  

 

De nature curieuse, depuis toujours, il étudie,  développe ses collaborations avec de nombreux musiciens de la région ainsi qu'au sein de compagnies de théâtre (Trac, Ka-Théâtre), danse  et musique contemporaine (Pignon sur rue, le Phare à lucioles), pour lesquelles il compose et performe. 

Animé par la transmission il enseigne la basse, la contrebasse et s'occupe d'un atelier Jazz  à l'école de musique de Buis-les-Baronnies depuis 2021, il y est coordinateur pédagogique depuis 2022. 

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